La Psychogénéalogie est une pratique qui a été développée dans les années 1970 par Anne Ancelin Schützenberger. La Psychogénéalogie consiste à observer les répétitions familiales à partir de la construction de votre arbre généalogique et des observations des qui en sont faites.
La Psychogénéalogie utilise mais aussi sur des concepts issus de la psychanalyse, de la psychologie, de la psychothérapie et de la systémique.
Appelé aussi
« génosociogramme », votre arbre généalogique va
comporter 3 à 4 générations. Il regroupera non seulement les noms, dates de naissance et dates de décès des membres de notre famille, mais également leurs métiers, leurs traits de caractères
dominants.
Le génosociogramme va permettre de répertorier la présence d’événements graves et dramatiques qui se sont déroulés dans la famille, comme peuvent l’être les accidents, les décès de guerre, les morts accidentelles, les suicides inexpliqués et maquillés en accident, les maladies, les troubles psychiatriques, les trahisons honteuses, les amours cachés, les adultères, les viols, les incestes, les enfants illégitimes, les enfants bâtards, les enfants mort-nés, les IVG, les fausses couches... ou tout autre comportements étranges et inexplicables comme des similitudes dans les dates anniversaires de naissance ou de décès.
La Psychogénéalogie et la construction de votre génosociogramme vont pouvoir vous aider à identifier les blessures familiales, les liens toxiques, les histoires inachevées, les secrets de familles, et les non dits que vous avez hérités.
Lire mon article sur la « Psychogénéalogie » paru en page 20 du magasine « Pleiniors Mag N°19 » en automne 2018.